J’ai toujours les yeux fixés sur l’Espagne mais comment ignorer ce qui atteint cette planète, ou plutôt cette espèce humaine, cette vague d’infection qui a parcouru en quelques semaines tous les continents?
Délaissé depuis que le journal Le Monde a décidé de supprimer la ligne de blogs auquel le mien était adossé, je le reprends parce qu’il y a urgence. Une urgence civique, une urgence intellectuelle également. Vivre cette période aussi intense après trois années françaises calamiteuses et cette pandémie « de mi-mandat » comme diraient les politologues de la petite lucarne ne pouvait rester sans quelques notes même modestes sur le monde tel qu’il va mal.
A très bientôt donc.